Je suis venu à la chanson par Vigneault, Brel, Ferré, Ferrat, Cohen, Dylan et les Beatles. S’il n’est pas toujours facile d’en reconnaître l’empreinte dans mon travail (tout élève ou disciple a sa propre part inaliénable d’expériences), il n’en demeure pas moins que j’aurai gardé de ces auteurs, à une moindre échelle, le souci de la parole bien dite, autant pour la forme que pour le fond. D’autre part, ne sachant pas écrire la musique, j’espère toujours qu’elle sonnera bien à l’oreille. Elle servira de gabarit et de guide, influençant à tout coup la tournure littéraire que prendront les paroles.
À défaut d’être le musicien que je ne suis pas tout à fait et l’écrivain que je ne serai jamais, je préfère revendiquer l’honnête titre de faiseur de chansons, simple «gosseur» devant le Temporel.
Paroles des chansons de Robert Garceau
- 24 mai 1970
- À la machine
- À toi
- Au dix-huitième étage
- Babylone
- Bonne route
- Chanson pour l'hiver
- Chiens fous sur le mer
- Dame de la fin du jour
- De quoi t'as peur
- Devant ma porte
- Dis-moi ma mie
- Dix-huit ans
- Doux soir d'été
- Elle dort
- Encore un an
- Épilogue
- Humanitudes
- Jamais adieu
- J'aurais voulu ma chanson bleue
- La douce que j'aime
- La lune au fond là-bas
- L'amour jamais assez
- Le bonheur
- Le cherche-étoiles
- Le monde est beau
- Les choses de la vie
- Les éphémères
- Les jours tranquilles
- Long le temps où tu t'en vas
- Neige du temps passé
- Nous le ferons sans toi
- Prologue
- Quand tu meurs
- Requiem pour un avion
- Rue Lafontaine
- Selon ta passion
- Si tu pars avant moi
- Souveraine aux grises cités
- Sur la plaine
- T'attends quoi Julie
- Témoins
- Un rêve dans l'escalier
- Valérie
- Dans une classe à part
- Ici et là
- Encore belle
- Où tu cours
- Le dernier train
- Sur la route
- Un peu de terre
- Ce jour-là
- Tout compte fait
- Chanson pour Naomi Klein
- Les oiseaux blancs
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